Le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Sidi Touré a annoncé que près de 4971 jeunes ivoiriens ont été enregistrés sur les côtes de la ville de Lampedusa (Italie), comme des migrants clandestins, sur la période de janvier à juin 2016. C’était à l’occasion de la commémoration de la Journée internationale de la jeunesse, le 12 août à l’amphithéâtre A du district de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody.
Placée sous le thème mondial : « Eliminer la pauvreté et parvenir à des modes de consommation et de production durable », cette célébration a donné lieu à un panel composé de plusieurs spécialistes des questions de migration. C’est autour du thème, « Les jeunes parlent aux jeunes du phénomène migratoire », que le panel a échangé avec cette jeunesse venue de plusieurs quartiers d’Abidjan.
Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, ce sont près de 1500 Ivoiriens qui arrivent chaque mois sur les côtes italiennes. Ainsi, l’objectif de cette rencontre, d’après le ministre Sidi Touré, était d’informer et sensibiliser la jeunesse ivoirienne sur les dangers du phénomène de la migration clandestine.
Il a de ce fait invité les jeunes ivoiriens qui d’après ces dires sont « pétris de talents » à avoir confiance en eux, « car l’eldorado n’est pas en Europe, mais plutôt ici en Côte d’Ivoire ». Où, tous les dispositifs ont été mis en place par le gouvernement, à travers l’Agence emploi jeunes (www.emploijeunes.ci), pour favoriser leur insertion, en vue de leur épanouissement.
Pour le directeur général des Ivoiriens de l’étranger, Issiaka Konaté, nul n’est opposé à la migration qui est un droit reconnu à tout individu. Mais, lorsque celle-ci se fait par la voie non-recommandée, sur des embarcations de fortune semant la mort et des disparitions, elle est condamnée.
Placée sous le thème mondial : « Eliminer la pauvreté et parvenir à des modes de consommation et de production durable », cette célébration a donné lieu à un panel composé de plusieurs spécialistes des questions de migration. C’est autour du thème, « Les jeunes parlent aux jeunes du phénomène migratoire », que le panel a échangé avec cette jeunesse venue de plusieurs quartiers d’Abidjan.
Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, ce sont près de 1500 Ivoiriens qui arrivent chaque mois sur les côtes italiennes. Ainsi, l’objectif de cette rencontre, d’après le ministre Sidi Touré, était d’informer et sensibiliser la jeunesse ivoirienne sur les dangers du phénomène de la migration clandestine.
Il a de ce fait invité les jeunes ivoiriens qui d’après ces dires sont « pétris de talents » à avoir confiance en eux, « car l’eldorado n’est pas en Europe, mais plutôt ici en Côte d’Ivoire ». Où, tous les dispositifs ont été mis en place par le gouvernement, à travers l’Agence emploi jeunes (www.emploijeunes.ci), pour favoriser leur insertion, en vue de leur épanouissement.
Pour le directeur général des Ivoiriens de l’étranger, Issiaka Konaté, nul n’est opposé à la migration qui est un droit reconnu à tout individu. Mais, lorsque celle-ci se fait par la voie non-recommandée, sur des embarcations de fortune semant la mort et des disparitions, elle est condamnée.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article