
Depuis la manifestation de certains responsables des pompes funèbres vendredi au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon et au siège de l’Ivoirienne sépulture (Ivosep) à Treichville, le calme est revenu hier. Les protestations des mécontents contre le monopole d’Ivosep interdisant à leurs membres de proposer leurs services, c’est-à-dire, cercueils et corbillards, aux abords des morgues se sont tues.
Dié Alexis, le président de la Fédération des pompes funèbres de Côte d’Ivoire et ses camarades sont finalement rentrés. Sans pour autant avoir obtenu gain de cause. Joint hier au téléphone, un responsable de la Pompe funèbre générale d’Afrique (PFGA), qui a son siège à Abidjan, s’étonne de cette manifestation. «Je suis surpris qu’on parle de monopole d’Ivosep. Parce qu’Ivosep ne se trouve pas dans tout le district d’Abidjan. Il n’est pas à Anyama, ni à Bingerville», a expliqué notre interlocuteur. PFGA qui ne faisait pas partie des manifestants, ajoute qu’il n’a aucun problème avec Ivosep.
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