Il faut dire que le Paru, d’un montant global de 155 milliards de FCfa pour une durée de six ans, ne sera pas déployé uniquement à Abobo, mais dans plusieurs autres quartiers d’Abidjan comme Yopougon, Cocody et Grand-Bassam et dans des villes de l’intérieur. En tant que principal bailleur du projet, la Banque mondiale joue un rôle clé dans la définition des orientations futures.
La maire d’Abobo, Kandia Camara, a profité de l’occasion pour faire, séance tenante, un plaidoyer à son hôte à propos d’un projet qui lui est cher. « Nous sommes très reconnaissants à la Banque mondiale pour ce grand projet essentiel pour les populations. Mais beaucoup reste à faire. C’est pourquoi, tout en lui disant grand merci, nous sollicitons encore une fois la Banque mondiale afin qu’elle nous aide à avoir d’autres infrastructures scolaires, sanitaires, routières pour ce quartier qui en a tant besoin, mais aussi pour d’autres quartiers de la commune. Nous attendons surtout une aide pour l’aménagement des bassins d’orage de la commune et qui représentent de gros risques pour les populations », a-t-elle plaidé.
En effet, a-t-elle précisé, les bassins d’orage répertoriés au sein de la commune sont au nombre de 22. « Nous avons commis une entreprise pour faire une étude sur ces bassins. Ces études étant terminées, nous allons remettre les résultats au gouvernement afin de trouver une solution durable. Par anticipation, nous voulons demander à la Banque mondiale d’y accorder une attention particulière afin de nous permettre d’atteindre notre objectif qui est d’offrir un meilleur cadre de vie aux vaillantes populations d’Abobo », a ajouté l’édile de la commune au million et demi d’habitants.
Abdoul Salam Bello a dit avoir pris bonne note de cette demande qui cadre avec l’objet de sa visite. En effet, au-delà de la simple observation des réalisations, la visite de l’administrateur de la Côte d’Ivoire à la Banque mondiale sera le point de départ de discussions approfondies sur les enjeux actuels et futurs du Paru dans son ensemble. Les perspectives de développement durable, la résilience urbaine face aux changements climatiques et les moyens d’optimiser les retombées positives sur la communauté seront au cœur des échanges.
Une des perspectives cruciales concerne le renforcement de l’engagement communautaire. La présence d’Abdoul Salam Bello sera l’occasion de discuter des moyens de renforcer la participation active des résidents dans la préservation et la pérennisation du projet. « L’implication de la communauté est essentielle pour garantir la fonctionnalité continue des infrastructures de drainage et la préservation de l’environnement », a expliqué Abdoul Salam Bello.
La maire d’Abobo, Kandia Camara, a profité de l’occasion pour faire, séance tenante, un plaidoyer à son hôte à propos d’un projet qui lui est cher. « Nous sommes très reconnaissants à la Banque mondiale pour ce grand projet essentiel pour les populations. Mais beaucoup reste à faire. C’est pourquoi, tout en lui disant grand merci, nous sollicitons encore une fois la Banque mondiale afin qu’elle nous aide à avoir d’autres infrastructures scolaires, sanitaires, routières pour ce quartier qui en a tant besoin, mais aussi pour d’autres quartiers de la commune. Nous attendons surtout une aide pour l’aménagement des bassins d’orage de la commune et qui représentent de gros risques pour les populations », a-t-elle plaidé.
En effet, a-t-elle précisé, les bassins d’orage répertoriés au sein de la commune sont au nombre de 22. « Nous avons commis une entreprise pour faire une étude sur ces bassins. Ces études étant terminées, nous allons remettre les résultats au gouvernement afin de trouver une solution durable. Par anticipation, nous voulons demander à la Banque mondiale d’y accorder une attention particulière afin de nous permettre d’atteindre notre objectif qui est d’offrir un meilleur cadre de vie aux vaillantes populations d’Abobo », a ajouté l’édile de la commune au million et demi d’habitants.
Abdoul Salam Bello a dit avoir pris bonne note de cette demande qui cadre avec l’objet de sa visite. En effet, au-delà de la simple observation des réalisations, la visite de l’administrateur de la Côte d’Ivoire à la Banque mondiale sera le point de départ de discussions approfondies sur les enjeux actuels et futurs du Paru dans son ensemble. Les perspectives de développement durable, la résilience urbaine face aux changements climatiques et les moyens d’optimiser les retombées positives sur la communauté seront au cœur des échanges.
Une des perspectives cruciales concerne le renforcement de l’engagement communautaire. La présence d’Abdoul Salam Bello sera l’occasion de discuter des moyens de renforcer la participation active des résidents dans la préservation et la pérennisation du projet. « L’implication de la communauté est essentielle pour garantir la fonctionnalité continue des infrastructures de drainage et la préservation de l’environnement », a expliqué Abdoul Salam Bello.
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