Dans la nuit du 14 au 15 décembre 2018 aux environs de 01 heure du matin, désignés à Angré dans la commune de Cocody, au point d’ancrage « carrefour Mandela ».
Les sergents de police Biékrou Yves Martial et Dayoro Goudi tous deux en service au Groupement Mobile d’Intervention (GMI) a bord du véhicule de type 4x4 que conduisait le sergent Biekrou ont suivi un véhicule qui venait d’être verbalisé jusqu’au « carrefour Fred et Pope » toujours dans la commune de Cocody, l’une des communes les plus huppées du district d’Abidjan.
A bord de ce véhicule se trouvait M. Koné Issa, un ivoirien d’une trentaine d’années qui avait certainement pris rendez-vous avec la mort sans le savoir.Dans la nuit du 14 au 15 décembre 2018 aux environs de 01 heure du matin, désignés à Angré dans la commune de Cocody, au point d’ancrage « carrefour Mandela ».
Les sergents de police Biékrou Yves Martial et Dayoro Goudi tous deux en service au Groupement Mobile d’Intervention (GMI) a bord du véhicule de type 4x4 que conduisait le sergent Biekrou ont suivi un véhicule qui venait d’être verbalisé jusqu’au « carrefour Fred et Pope » toujours dans la commune de Cocody, l’une des communes les plus huppées du district d’Abidjan.
A bord de ce véhicule se trouvait M. Koné Issa, un ivoirien d’une trentaine d’années qui avait certainement pris rendez-vous avec la mort sans le savoir.
Selon le témoignage du chef du dispositif auquel faisaient partie ces deux policiers, le sergent-chef de police Ouattara D. Koné Issa, après qu’il ait été verbalisé au carrefour Fred et Pope a refusé d’obtempérer.
Une course poursuite comme dans un film d’action s’engage ainsi. Le conducteur du véhicule pris en chasse décide d’immobiliser son engin.
Le sergent Dayogo G. l’un des policiers lui arrache son permis de conduire et lui intime l’ordre de les suivre afin qu’ils regagnent leur position.
Aussitôt monté dans le véhicule 4x4, le conducteur le sergent Biekrou Yves M. démarre en trombe. Ils arrivent sur leur position sans Koné Issa. C’est en revenant sur leur pas qu’ils aperçoivent un attroupement d’hommes autour d’un corps sans vie.
Il s’agit bel et bien du « verbalisé » qui vient de passer de vie à trépas. Le conducteur affirme ne l’avoir pas vu s’agripper au véhicule.
Le parquet militaire est saisi de l’affaire et Ange Kessi qui fait de l’impunité son cheval de bataille mais également pour qui le respect des droits de l’homme sont des principes fondamentaux dans toutes opérations militaires et policières entend donner une suite à cette affaire.
Ces policiers sont donc aux arrêts et en détention à la Mama pour homicide.
Société
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