Cette opération s'est déroulée en présence des ministres en charge de la Santé, Pierre N’Gou Dimba et de la Protection sociale, Me Adama Kamara, en compagnie de la directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, Marie-Chantal Uwanyiligira.
Cette initiative répond à la décision du gouvernement ivoirien qui a rendu obligatoire la Cmu pour tous les résidents en Côte d’Ivoire, sans distinction de race, de sexe, de religion, de nationalité, de provenance ou de catégorie socio-professionnelle.
Il faut noter que dans la dynamique de la généralisation de la Cmu, il y a eu d’énormes améliorations, selon la note du ministère de la Santé, de l'Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle.
A cet effet, l’on note à ce jour l’intégration de 1 779 établissements de santé. Ce qui représente environ 50 % des établissements publics de santé.
Des mesures sont en cours pour intégrer efficacement le secteur privé, en particulier le secteur non lucratif ou médico-social, dans un premier temps.
Au niveau des soins, plus de 900 spécialités de médicaments et 170 pathologies sont couvertes, avec une intégration prochaine dans le panier de soins de l’hypertension artérielle et du diabète. Environ 985 officines privées pharmaceutiques font partie du réseau de soins, dont plus de 400 ont une convention avec la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam).
Cette initiative répond à la décision du gouvernement ivoirien qui a rendu obligatoire la Cmu pour tous les résidents en Côte d’Ivoire, sans distinction de race, de sexe, de religion, de nationalité, de provenance ou de catégorie socio-professionnelle.
Il faut noter que dans la dynamique de la généralisation de la Cmu, il y a eu d’énormes améliorations, selon la note du ministère de la Santé, de l'Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle.
A cet effet, l’on note à ce jour l’intégration de 1 779 établissements de santé. Ce qui représente environ 50 % des établissements publics de santé.
Des mesures sont en cours pour intégrer efficacement le secteur privé, en particulier le secteur non lucratif ou médico-social, dans un premier temps.
Au niveau des soins, plus de 900 spécialités de médicaments et 170 pathologies sont couvertes, avec une intégration prochaine dans le panier de soins de l’hypertension artérielle et du diabète. Environ 985 officines privées pharmaceutiques font partie du réseau de soins, dont plus de 400 ont une convention avec la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam).
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