Destinée aux professionnels du secteur pharmaceutique, cette information a été relayée de façon malencontreuse sur les réseaux sociaux. Au cours du point-presse qu’il a organisé à son bureau vendredi, Dr Assane Coulibaly a tenu à lever tout équivoque.
« Le laboratoire fabricant de ce produit a donné une alerte faisant état de ce qu’un incident a été relevé sur un lot de sa production. Par mesure de précaution et, ainsi que le recommande la règle des bonnes pratiques de fabrication pharmaceutique, l’information a été partagée avec les autorités de régulation du pays d’origine et les autorités de régulation des pays dans lesquels ce produit est commercialisé. Suite à cette information, nous avons effectué un contrôle afin de nous assurer que les lots commercialisés en Côte d’Ivoire ne sont pas concernés et que nos populations ne sont pas exposées au moindre risque sanitaire », confie l’orateur, non sans insister sur le fait que les lots vendus en Côte d’ivoire sont antérieurs à l’incident révélé le 07 décembre 2020.
Le directeur général de l’Airp a poursuivi que ce genre d’incident est sans conséquence majeure, et par ailleurs, ne relève pas de l’inédit. Toutefois, en cas de survenue, le fabricant est tenu d’en informer tous les pays détenteurs d’une autorisation de mise sur le marché du produit.
C’est ce qui justifie le communiqué rédigé par l’autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique, qui a pris des mesures urgentes pour procéder à des vérifications des lots.
C’est pourquoi il a exhorté les professionnels du secteur de la pharmacie à plus de vigilance afin que les informations d’ordre médical ne soient pas diffusées sur les réseaux sociaux, qui ne sont pas des canaux de communication officiels.
En cette période de pandémie de la Covid-19, une mauvaise gestion de l’information médicale n’aurait d’autre conséquence, selon lui, que de créer plus d’anxiété au sein des populations.
« Le laboratoire fabricant de ce produit a donné une alerte faisant état de ce qu’un incident a été relevé sur un lot de sa production. Par mesure de précaution et, ainsi que le recommande la règle des bonnes pratiques de fabrication pharmaceutique, l’information a été partagée avec les autorités de régulation du pays d’origine et les autorités de régulation des pays dans lesquels ce produit est commercialisé. Suite à cette information, nous avons effectué un contrôle afin de nous assurer que les lots commercialisés en Côte d’Ivoire ne sont pas concernés et que nos populations ne sont pas exposées au moindre risque sanitaire », confie l’orateur, non sans insister sur le fait que les lots vendus en Côte d’ivoire sont antérieurs à l’incident révélé le 07 décembre 2020.
Le directeur général de l’Airp a poursuivi que ce genre d’incident est sans conséquence majeure, et par ailleurs, ne relève pas de l’inédit. Toutefois, en cas de survenue, le fabricant est tenu d’en informer tous les pays détenteurs d’une autorisation de mise sur le marché du produit.
C’est ce qui justifie le communiqué rédigé par l’autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique, qui a pris des mesures urgentes pour procéder à des vérifications des lots.
C’est pourquoi il a exhorté les professionnels du secteur de la pharmacie à plus de vigilance afin que les informations d’ordre médical ne soient pas diffusées sur les réseaux sociaux, qui ne sont pas des canaux de communication officiels.
En cette période de pandémie de la Covid-19, une mauvaise gestion de l’information médicale n’aurait d’autre conséquence, selon lui, que de créer plus d’anxiété au sein des populations.
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