Le Président Ouattara a pris cette décision, qui n'est pas appréciée par les travailleurs, dans le but d'assainir les finances publiques et d'améliorer les recettes de l'État.
La mise à jour de la base de données du personnel de l'État, qui a touché 251 426 agents, avait pour objectif de mettre à jour les informations sur le poste occupé, l'affectation et la localisation géographique. Selon les résultats, il ressort que 249 549 agents étaient présents à leur poste, tandis que 1 877 étaient absents ou non contrôlés, malgré les différentes étapes de rattrapage, y compris un procès pour étudier les disputes.
Les mesures immédiates ont été prises contre ces agents, avec une suspension des ventes, qui a été informée par voie de communiqué.
Cependant, les agents concernés ont la possibilité de faire appel au Conseil de discipline afin d'obtenir une réévaluation de leur situation.
La communication suivante concerne le rapport de la grève choisie par certains syndicats dans les domaines de la santé et de l'éducation-formation du 15 au 17 octobre 2024.
Cette grève a été décrite comme « illégale » par le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, qui a déclaré qu'elle avait été organisée malgré les négociations menées par le ministre de la Fonction publique.
Selon ses dires, en raison de son caractère illégal et conformément à la loi (...) les 26 principaux meneurs ont été suspendus dès octobre 2024, tandis que les autres participants ont été soumis à une retenue équivalente aux trois jours de grève. L'Intersyndicale du MENA (IS-MENA) avait reçu un préavis de grève le 23 septembre 2024 pour un arrêt de travail de 72 heures, du 15 octobre à 7h30 GMT au 17 octobre à 18h00 GMT, afin de faire valoir leurs revendications.
Les syndicats réclament notamment la mise en place d'une prime d'encouragement pour le personnel éducatif, la création d'une filière d'administration scolaire avec de nouveaux postes et une augmentation des indemnités d'examens, versées au plus tard deux semaines après la fin des examens, ainsi que la promotion des instituteurs adjoints.
.
Cette grève a été décrite comme « illégale » par le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, qui a déclaré qu'elle avait été organisée malgré les négociations menées par le ministre de la Fonction publique.
Selon ses dires, en raison de son caractère illégal et conformément à la loi (...) les 26 principaux meneurs ont été suspendus dès octobre 2024, tandis que les autres participants ont été soumis à une retenue équivalente aux trois jours de grève. L'Intersyndicale du MENA (IS-MENA) avait reçu un préavis de grève le 23 septembre 2024 pour un arrêt de travail de 72 heures, du 15 octobre à 7h30 GMT au 17 octobre à 18h00 GMT, afin de faire valoir leurs revendications.
Les syndicats réclament notamment la mise en place d'une prime d'encouragement pour le personnel éducatif, la création d'une filière d'administration scolaire avec de nouveaux postes et une augmentation des indemnités d'examens, versées au plus tard deux semaines après la fin des examens, ainsi que la promotion des instituteurs adjoints.
.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article