La fermeture d’une unité de traitement de noix de cajou à M’Bahiakro a entraîné une galère des ex-employés, notamment des femmes, des jeunes filles et garçons, a constaté l’AIP mardi. Ce sont près de 200 personnes qui traversent en ce moment une situation difficile consécutivement à la fermeture en août de cette unité industrielle. Pour la veuve et mère de six enfants, Abouanou Akissi, cette fermeture la plonge dans une impasse sans pareille au regard des difficultés à scolariser ses enfants. Tout comme elle, dame Sankan estime que la possibilité ne lui est plus donnée de soutenir son mari, lui aussi sans emploi. Même son de cloche pour les élèves qui y allait travailler pour s’assurer la rentrée scolaire.
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