jeudi ?3 mai 2018, les agences du système des nations unies en Côte d’Ivoire ont font le point de la première année de mise en œuvre du Cadre Programmatique Unique (CPU) 2017-2020, au cours d’un petit déjeuner de presse dans un établissement hôtelier à Abidjan-Marcory.
A l’entame de cette rencontre, le représentant-résident du HCR en Côte d’Ivoire, Mohamed Askia Touré, président du Groupe de communication des nations unies (UNCG), a indiqué que le CPU a permis d’accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND 2016-2020) qui a enregistré de bonnes performances d’exécution sur les plans économique, sécuritaire et social.
Askia Touré a relevé, au titre de activités conjointes des agences du système, « notre contribution déterminante à la consolidation de la paix suite au départ de la Mission de maintien de la paix des Nations unies (Onuci) et le transfert des responsabilités de la Mission à l’équipe Pays pour assurer la continuité des activités résiduelles » Cette contribution a coûté la somme de 85,6 millions de dollars « soit un taux d’exécution de 81 par rapport à nos objectifs de dépenses de 2017 », a indiqué le président de l’UNCG.
Un autre aspect sur lequel le représentant-résident du HCR s’est appesanti est l’appui technique et financier qui a été apporté au gouvernement pour la prise en compte des ODD dans le PND. A ce niveau, il fait des recommandations : « renforcer les politiques publiques de manière à les rendre plus intégrées et cohérentes afin de réduire les approches verticales de planification de développement ». Au plan socio-économique, « il faudra également promouvoir davantage les investissements pro-pauvres pour favoriser une croissance inclusive et réduire toutes les formes d’inégalités y compris celles liées au genre » a ajouté Askia Touré.
Trois présentations sur les différents effets du CPU ont été faites par les représentants du Pnud, de l’Unicef et de l’Onudi.
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