Le 6ème rassemblement mondial des plateformes sur les données nutritionnelles (Npin) s’est tenu à Addis-Abeba, en Ethiopie. Pendant 3 jours, du 22 au 25 octobre 2024, les 9 pays présents ont échangé sur l'évaluation et le renforcement de la durabilité, les progrès et les défis des Plateformes nationales. La Côte d’Ivoire a présenté sa volonté de renforcer ses engagements pour améliorer la nutrition à travers sa plateforme nationale multisectorielle d’information sur la nutrition (Pnmin).
Au cours d’une session dédiée, les pays se sont partagé leurs expériences, enseignement tiré et défis, notamment au niveau les grandes réalisations depuis la dernière rencontre mondiale. Concernant l’état d’avancement de la plateforme de la Côte d’Ivoire le Coordonnateur de la Pnmin, Dr Ndri Faustin a notifié, entre autres, le suivi des indicateurs de nutrition, la mise à jour de la cartographie des données de nutrition, et la finalisation du cadre de suivi et évaluation de la Pnmin.
Il a également énoncé les renforcements de capacités des ministères sectoriels « En Côte d’Ivoire, 2025 marque la fin d’un cycle opérationnel des Pnd. La Pnmin travaille pour mettre à la disposition des parties prenantes de la documentation et des cadres formés afin d’accompagner leur secteurs et élaborer de nouveaux documents pour le nouveau défis de programmation qui démarrera » : s’est réjoui Dr Ndri Fautin.
A la fin de cet exercice, il a fallu faire des réflexions en interne sur les présentations des expériences du Niger et de Burkina Faso. Le coordonnateur de la Pnmin en Côte d’Ivoire a recommandé de digitaliser la cartographie. « Effectivement ! » : a ajouté Anne Sophie Le Dain la représentante d’UNICEF-Côte d’Ivoire. Elle a recommandé de ce fait de savoir choisir les indicateurs. Pour Anne-Sophie : « on ne maitrise pas encore tout ce qui se passe sur le terrain. Dans le bounkani, nous avons constaté un manque d’interventions car très peu de présence des intervenants. Nous devons performer le dashboard pour réussir le plan opérationnel ».
S’agissant des engagements et les principaux défis à relever en matière de pérennisation, la Côte a précisé qu’elle a élaboré un plan de pérennisation institutionnel, technique et financier. Cependant, comme la majorité des pays, le principal défi reste au niveau du financement.
Au niveau institutionnel, des dispositions sont prises pour la durabilité de la PNMIN à travers la coordination multisectorielle de sorte à assurer la mobilisation des ressources, la gestion de connaissances, l’élaboration des documents. En plus, la nutrition est suivie au plus haut niveau institutionnel, avec le lead assuré par le vice-président de la république.
La collaboration entre l'Etat ivoirien et l'Union européenne via le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a facilité l’appui technique et financier de la Côte d’Ivoire à ce rassemblement. L’édition 2024 était sous le thème « Le Pnin pour l'avenir : Durabilité dans un environnement politique en évolution ».
Au cours d’une session dédiée, les pays se sont partagé leurs expériences, enseignement tiré et défis, notamment au niveau les grandes réalisations depuis la dernière rencontre mondiale. Concernant l’état d’avancement de la plateforme de la Côte d’Ivoire le Coordonnateur de la Pnmin, Dr Ndri Faustin a notifié, entre autres, le suivi des indicateurs de nutrition, la mise à jour de la cartographie des données de nutrition, et la finalisation du cadre de suivi et évaluation de la Pnmin.
Il a également énoncé les renforcements de capacités des ministères sectoriels « En Côte d’Ivoire, 2025 marque la fin d’un cycle opérationnel des Pnd. La Pnmin travaille pour mettre à la disposition des parties prenantes de la documentation et des cadres formés afin d’accompagner leur secteurs et élaborer de nouveaux documents pour le nouveau défis de programmation qui démarrera » : s’est réjoui Dr Ndri Fautin.
A la fin de cet exercice, il a fallu faire des réflexions en interne sur les présentations des expériences du Niger et de Burkina Faso. Le coordonnateur de la Pnmin en Côte d’Ivoire a recommandé de digitaliser la cartographie. « Effectivement ! » : a ajouté Anne Sophie Le Dain la représentante d’UNICEF-Côte d’Ivoire. Elle a recommandé de ce fait de savoir choisir les indicateurs. Pour Anne-Sophie : « on ne maitrise pas encore tout ce qui se passe sur le terrain. Dans le bounkani, nous avons constaté un manque d’interventions car très peu de présence des intervenants. Nous devons performer le dashboard pour réussir le plan opérationnel ».
S’agissant des engagements et les principaux défis à relever en matière de pérennisation, la Côte a précisé qu’elle a élaboré un plan de pérennisation institutionnel, technique et financier. Cependant, comme la majorité des pays, le principal défi reste au niveau du financement.
Au niveau institutionnel, des dispositions sont prises pour la durabilité de la PNMIN à travers la coordination multisectorielle de sorte à assurer la mobilisation des ressources, la gestion de connaissances, l’élaboration des documents. En plus, la nutrition est suivie au plus haut niveau institutionnel, avec le lead assuré par le vice-président de la république.
La collaboration entre l'Etat ivoirien et l'Union européenne via le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a facilité l’appui technique et financier de la Côte d’Ivoire à ce rassemblement. L’édition 2024 était sous le thème « Le Pnin pour l'avenir : Durabilité dans un environnement politique en évolution ».
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article