Un taxi communal, le premier, est en service depuis novembre à Niakaramadougou, a constaté l’AIP.
Son propriétaire, Koné Mamadou, 50 ans, explique que l’idée de mettre ce taxi en circulation est née du fait que « des habitants, notamment les adultes, ont de plus en plus peur de circuler à cause des accidents impliquant toujours les motos. Par ailleurs, la ville s’est agrandie et donc faire ses courses en peu de temps devient pénible ».
Les usagers apprécient ce changement qualitatif qu’opère ce moyen de transport, le premier du genre à Niakaramadougou. Un deuxième véhicule pourrait très prochainement être mis en circulation, signale-t-on.
(AIP)
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