En Côte d'Ivoire, certains policiers et gendarmes sont en colère.
Environ 600 d'entre eux dénoncent le non-paiement de ce qu'ils appellent "leur dû" estimant n'avoir pas été pris en compte dans les accords conclus avec le gouvernement après les mutineries de 2017.
Selon ces accords, 8.400 militaires devaient toucher chacun 12 millions de francs CFA, des primes qui correspondent à la sécurisation du processus électoral, entre 2007 et 2011.
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