Samedi, les hymnes du Burkina Faso et du Cameroun n’ont pas pu être joués lors du deuxième match de la CAN 2017. Et à en croire le sélectionneur du Togo, Claude Le Roy, d’autres problèmes d’organisation bien plus importants sont à signaler, à commencer par l’état de la pelouse du stade d’Oyem où les Eperviers défieront la Côte d’Ivoire lundi dans le groupe C. "C’est la première fois que je vois des ’ralentisseurs’ sur un terrain. Il y a un quart de terrain avec des ralentisseurs dessus, ce n’est pas pour favoriser la vitesse du foot. C’est une première dans le football international", a taclé le technicien français, mécontent aussi du traitement infligé à sa sélection au moment de son arrivée au Gabon.
"À notre arrivée à Libreville, on nous a gentiment fait attendre 5 heures à l’aéroport avant de partir sur Oyem, sans servir un repas aux joueurs à trois jours d’un match, ce qui n’est pas très gentil. Et il a fallu qu’on loue une voiture pour venir ici", a déploré le recordman de participations à la CAN (9), qui n’a en revanche rien trouvé à redire sur l’hôtel qui héberge les Togolais.
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