Dans le doute ces derniers mois, l’Algérie doit impérativement s’imposer face au Zimbabwe ce dimanche à Franceville à 16h GMT (17h Paris) pour son entrée dans la CAN 2017 avant d’affronter la Tunisie puis le Sénégal.
Après les deux matchs nuls de samedi, va-t-on assister ce dimanche à la première victoire de la CAN 2017 ? Pour l’Algérie, il vaudrait mieux que ce soit le cas. Placés dans un groupe B relevé, les Fennecs affrontent ce dimanche à Franceville à 16h GMT (17h Paris) le Zimbabwe, supposé adversaire le plus faible d’une poule qui comprend aussi le Sénégal et la Tunisie.
"Le plus important est le premier match face au Zimbabwe, c’est un adversaire à prendre très au sérieux, c’est une bonne équipe. Nous devons tout faire pour avoir les trois points. Ce sera un match très serré", a prévenu le sélectionneur des Verts, Georges Leekens, samedi en conférence de presse. "Le match face au Zimbabwe sera crucial. Tout le monde parle de la Tunisie et du Sénégal, mais je pense qu’il faut se méfier de cet adversaire", n’a eu de cesse de marteler le technicien belge tout au long de la préparation.
Le précédent de 2004
Il y a quelques mois encore, cette rencontre semblait promise aux Algériens, mais la parenthèse ratée Milovan Rajevac a stoppé la dynamique de la sélection, qui reste sur deux contre-performances en match officiel face au Cameroun (1-1 à domicile) et au Nigeria (1-3) en qualifications au Mondial 2018. La dernière fois que les deux nations se sont rencontrées à la CAN, les Fennecs avaient en plus été surpris 2-1 par les Warriors. C’était en 2004, déjà en phase de poule.
Les Warriors visent "la surprise"
Avec les absences de Saphir Taïder et Ryad Boudebouz, forfaits, et celles de Carl Medjani et Sofiane Feghouli, non retenus, le quart de finaliste de la précédente CAN va devoir retrouver ses automatismes et confirmer la montée en puissance entrevue en préparation contre la Mauritanie (3-1 puis 6-0). Point faible récurrent de la sélection, la charnière centrale composée d’Aïssa Mandi, promu capitaine, et de Ramy Bensebaini, finalement apte, sera au centre des attentions.
Pour les Verts, pas question donc de faire le moindre cadeau à un adversaire qui renoue avec la CAN après 11 ans d’absence. "Je suis content parce que notre adversaire nous considère comme un outsider, il prend la pression sur lui et ce sera plus facile pour nous de créer la surprise", a glissé le sélectionneur zimbabwéen, Callisto Pasuwa. Le scénario que l’Algérie doit…
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