Samedi à Radès, la Tunisie peut se qualifier pour la Coupe du Monde 2018, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 2006. Les Aigles de Carthage, en ballottage (très) favorable, accueillent la Libye, déjà éliminée. Nabil Maâloul, le sélectionneur tunisien, connaît trop bien les risques face à ce genre de situation pour ne pas les ignorer.
Presque douze ans après sa dernière participation à une phase finale de Coupe du Monde, achevée au soir du premier tour en Allemagne, la Tunisie touche du doigt l’objectif suprême. Première du groupe A avec trois points d’avance sur la RDC, qui recevra dans le même temps la Guinée, elle validera sa qualification en cas de victoire, de match nul et même de défaite, si les Léopards se révélaient incapables de dominer le Syli National à Kinshasa. Mais un large succès de la RDC, combiné à une défaite des Aigles de Carthage, pourrait envoyer les champions d’Afrique 2004 dans les cordes. Une issue que Nabil Maâloul, revenu aux affaires quatre ans après un premier passage sur le banc tunisien, souhaite à tout prix éviter.
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