C’est ce qui s’appelle une pige rentable. On le savait, Thierry Henry avait touché le pactole durant son court passage comme entraîneur de l’AS Monaco. Mais les chiffres révélés par France Football ce mardi sont plus importants que ceux qui avaient filtré dans un premier temps. Car en trois mois, l’ancien capitaine de l’équipe de France a engrangé assez d’argent pour faire de lui le troisième entraîneur le mieux payé du monde pour 2018.
Les revenus de "Titi" pour l’année passée sont ainsi estimés à 25,5 millions d’euros par l’hebdomadaire. Dans cette somme, 1,8 million d’euros correspondent à son salaire pour les trois mois passés sur le Rocher. Son licenciement lui a ensuite rapporté 20,5 millions d’euros, soit bien plus que les 15 millions d’euros qui avaient été avancés dans les médias.
Un autre chômeur sur le podium
Il faut ajouter à ces coquettes sommes les cachets de ses campagnes de publicité avec ses sponsors comme Renault, Samsung ou encore Cadbury, ainsi que le cachet que lui ont rapporté ses piges sur la chaîne anglaise Sky Sports en tant que consultant.
Désormais chômeur, Thierry Henry est devancé par un autre entraîneur récemment de retour sur le marché de l’emploi. José Mourinho, renvoyé de Manchester United, est 2e du classement des entraîneurs les mieux payés au monde en 2018 avec des revenus estimés à 31 millions d’euros : le technicien portugais a notamment obtenu 15 millions d’euros d’indemnité de licenciement. C’est l’Argentin Diego Simeone, récemment prolongé et augmenté du côté de l’Atlético Madrid, qui est en tête de ce classement avec des revenus estimés à 41 millions d’euros.
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