Présidentielle 2025 : Amnesty International appelle au respect du droit de manifester en Côte d’Ivoire
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Présidentielle 2025 : Amnesty International appelle au respect du droit de manifester en Côte d’Ivoire
Cette information provient du Directeur exécutif d'Amnesty Internationale, section Sénégal. Sur sa page sur le réseau social X, Seydi Gassama indique que « La famille de Prosper Clédor Senghor, étudiant à l'Université Gaston Berger de Saint Louis, qui est décédé le 21 février 2024 à l'Hôpital Principal de Dakar suite aux blessures infligées lors d'une protestation.
Selon des autorités gouvernementales, malgré de nombreuses critiques américaines sur la sécurité et les droits de l'homme en Libye, il est possible que les expulsions vers ce pays aient lieu dans un avenir proche. Ces responsables ont signalé que des négociations sont déjà en cours avec plusieurs nations pour déporter actuellement des individus se trouvant sur le territoire américain.
En 2024, la Côte d’Ivoire a encore rencontré de sérieux problèmes en matière de droits humains. C’est ce que montre le nouveau rapport d’Amnesty International.
Les avocats ont rapporté que lundi, l'avocat Ahmed Sawab a été appréhendé par la police tunisienne suite à une perquisition effectuée dans son domicile. Sawab est un adversaire du président Kais Saied et fait partie de l'équipe juridique représentant les accusés dans l'affaire connue sous le nom de « complot contre la sécurité de l'État ».
Mohamed Hamdane Daglo, aussi connu sous le nom de Hemetti, a déclaré que ce gouvernement était « le nouveau visage du Soudan » deux ans après le début du conflit, alors que l'armée régulière regagne progressivement du terrain.
La réaction de Billon sur la grève des enseignants en Côte d’Ivoire va certainement susciter la colère de certains enseignants. Si l’ancien ministre dit comprendre les frustrations, il dénonce en revanche les paralysies occasionnées par ces arrêts de travail occasionnés par les enseignants depuis le 3 avril dernier.
Entre mars 2021 et mars 2024, plus de soixante personnes auraient trouvé la mort au Sénégal lors d'affrontements violents entre les forces de sécurité et des citoyens, majoritairement issus de l'opposition.
Selon ses partisans, l'opposant ougandais Kizza Besigye, affaibli par la famine, a été présenté au tribunal ce vendredi dans « une condition de santé critique ».
Le tribunal de Bamako a vu comparaître ce 23 décembre 2024 l’homme politique malien Issa Kaou N’Djim, accusé d’avoir offensé les autorités burkinabè. Il a plaidé non coupable pour les faits dont il est reproché.
Le Sénat zimbabwéen a approuvé un projet de loi visant à abolir la peine de mort. Cette décision constitue une étape clé dans l'abandon de cette loi utilisée pour la dernière fois au Zimbabwe il y a près de 20 ans.Le Parlement zimbabwéen a déclaré jeudi que le projet de loi avait été adopté par les sénateurs la nuit précédente. La peine de mort sera abolie si le projet de loi est signé par le président, ce qui est probable.
Justin Koné Katinan, le président du Conseil stratégique et politique (CSP) du PPA-CI, le parti de Laurent Gbagbo, soutient que les récents déguerpissements à Abidjan, ont engendré des perturbations économiques.
La Société automobile de crédit (Sautoc) est plongée dans une crise à la suite de l'arrestation brutale de neuf de ses employés lors d'une perquisition de la police judiciaire dans ses locaux le mardi 15 octobre 2024. Ces employés, accusés de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, sont détenus depuis plus de 72 heures sans notification légale de prolongation de leur garde à vue, selon la direction de l’entreprise.
Initialement annoncé en liberté provisoire, l’économiste et professeur Étienne Fakaba Sissoko, détenu depuis mars dernier, n’a finalement pas pu quitter sa cellule ce lundi 14 octobre 2024, comme l’avait suggéré une décision préliminaire.
Le gouvernement malien a récemment annoncé, la suspension immédiate des activités de l’association TEMEDT, un acteur majeur dans la lutte contre l’esclavage par ascendance au Mali.
En détention depuis mai dernier, l’économiste et professeur Etienne Fakaba Sissoko a obtenu, ce lundi 14 octobre 2024, une mise en liberté provisoire. Il rentre chez lui dans l’attente de son jugement en appel sur le fond, prévu pour le 11 novembre 2024.
L’économiste malien Étienne Fakaba Sissoko, directeur du Centre de recherche et d’analyse politiques, économiques et sociales (CRAPES), a comparu ce lundi 7 octobre 2024, devant la Cour d’appel de Bamako pour une audience de mise en liberté.
Amnesty International a appelé mercredi dans un communiqué à "mettre immédiatement un terme aux expulsions forcées" et démolitions massives conduites depuis janvier par les autorités du district d'Abidjan dans les quartiers précaires.
D’éminents Nigérians et des organisations de la société civile ont condamné l’invasion du siège du Nigeria Labour Congress (NLC) par des agents de sécurité dans la nuit de mercredi à jeudi.
Les manifestations contre la vie chère au Nigéria se sont poursuivies, ce mardi, dans certains États du nord du pays où de nombreux drapeaux russes ont été brandis, rapportent des sources concordantes, sur place.