Sous la présidence du Premier ministre, le Général de Division Abdoulaye Maïga, qui occupe aussi le poste de ministre de l'Administration Territoriale, cette réunion s'est concentrée principalement sur la refonte de la charte des partis politiques. Les sujets abordés lors des discussions comprenaient la diminution du nombre de partis, la refonte de la charte elle-même et le problème du nomadisme politique.
Les participants ont proposé des suggestions importantes : l'élimination de tous les partis politiques actuels, suivie de nouvelles règles de création, y compris le paiement d'une caution de 100 millions de francs CFA ; la fin du soutien financier public pour les partis ; l'abrogation du statut d'opposition principale, via une modification de la loi n°2015-007 du 4 mars 2015 ; et l'interdiction du changement fréquent en politique, élargie aux postes désignés.
Les intervenants ont suggéré des recommandations significatives : la suppression de tous les partis politiques existants, accompagnée de nouvelles directives de constitution, y compris le versement d'un dépôt de garantie de 100 millions de francs CFA ; l'arrêt du financement public pour les partis politiques ; l'abolition du statut d'opposition principale, par le biais d'une modification de la loi n°2015-007 du 4 mars 2015 ; et l'interdiction des changements fréquents en politique, étendue aux postes nommés.
En outre, l'idée a été suggérée que ceux qui se présentent à la présidence doivent verser une garantie de 250 millions de francs CFA, et que l'élection devrait se tenir en une seule ronde.
Ces suggestions ont suscité une réponse intense de la part de la classe politique au Mali, qui promet une forte résistance si elles sont appliquées. Un affrontement politique paraît sur le point de se produire.
Ces suggestions ont suscité une réponse intense de la part de la classe politique au Mali, qui promet une forte résistance si elles sont appliquées. Un affrontement politique paraît sur le point de se produire.
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