D'après les autorités russes, « les systèmes de défense antiaérienne S-400 et Pantsir ont intercepté cinq de ces missiles ».
Un incendie serait déclenché par les fragments du sixième missile, endommagé, qui seraient tombés sur une zone technique de l'installation militaire.
Cet événement intervient après que le New York Times a révélé que les États-Unis ont accordé à Kiev l'autorisation de frapper en territoire russe.
Moscou réagit à l'hypothétique autorisation accordée à Kiev de lancer des missiles à l'intérieur de la Russie.
La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a réagi à cette information le lundi 18 novembre.
Elle a déclaré que ces données devaient être vérifiées tout en accusant l'Occident de vouloir accentuer le conflit.
Étant donné les défaites subies par le régime de Kiev, ses conservateurs occidentaux comptent sur une augmentation maximale de la guerre hybride déclenchée contre la Russie, dans l'espoir de la défaire stratégiquement.
La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a réagi à cette information le lundi 18 novembre.
Elle a déclaré que ces données devaient être vérifiées tout en accusant l'Occident de vouloir accentuer le conflit.
Étant donné les défaites subies par le régime de Kiev, ses conservateurs occidentaux comptent sur une augmentation maximale de la guerre hybride déclenchée contre la Russie, dans l'espoir de la défaire stratégiquement.
Malgré cela, elle a réduit l'effet des missiles à longue portée en déclarant qu'ils ne modifieraient pas le déroulement de l'opération militaire russe.
Conseil de Vladimir Poutine
Cette attaque s'inscrit dans une période de tension croissante concernant l'implication supposée de l'OTAN dans la guerre.
Le 25 octobre, le président russe Vladimir Poutine avait affirmé que l'Ukraine ne pouvait effectuer de telles attaques sans l'appui technologique et opérationnel des forces de l'OTAN, en utilisant notamment des satellites et d'autres infrastructures militaires occidentales.
Conseil de Vladimir Poutine
Cette attaque s'inscrit dans une période de tension croissante concernant l'implication supposée de l'OTAN dans la guerre.
Le 25 octobre, le président russe Vladimir Poutine avait affirmé que l'Ukraine ne pouvait effectuer de telles attaques sans l'appui technologique et opérationnel des forces de l'OTAN, en utilisant notamment des satellites et d'autres infrastructures militaires occidentales.
M. Poutine avait aussi prévenu que l'utilisation de missiles de haute précision par Kiev contre le territoire russe ferait penser aux États-Unis et à leurs alliés à s'impliquer directement dans la guerre.
Selon lui, cela provoquerait une réponse « appropriée et significative » de la Russie, ce qui pourrait marquer un tournant dans la nature du conflit.
Les préoccupations concernant les risques de confrontation directe entre la Russie et les puissances occidentales soutenues par les États-Unis sont soulevées par cette escalade.
Selon lui, cela provoquerait une réponse « appropriée et significative » de la Russie, ce qui pourrait marquer un tournant dans la nature du conflit.
Les préoccupations concernant les risques de confrontation directe entre la Russie et les puissances occidentales soutenues par les États-Unis sont soulevées par cette escalade.
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