Cette annonce intervient alors que certains prestataires, sollicités pour des services divers tels que la communication, la restauration, l’informatique et l’ameublement, se plaignent de retards dans le règlement de leurs factures.
« Le solde de leur facture n’a pas été fait. Le Cocan est en train de travailler. Si l’État a déjà avancé des fonds, c’est qu’il reconnaît qu’il leur doit. Il s’agit de solder pour certaines entreprises », a déclaré le porte-parole du gouvernement ce mercredi, lors d’un point-presse à l'issue du Conseil des ministres présidé par le chef de l'Etat Alassane Ouattara.
La CAN 2023, initialement prévue en 2023 mais reportée à janvier 2024 en raison des conditions climatiques, a marqué une édition spéciale pour la Côte d’Ivoire, hôte du tournoi pour la première fois depuis 1984. Lors de cette dernière édition sur son sol, la Côte d’Ivoire avait remporté la compétition, gravant son nom dans l’histoire du football africain.
Pour cette édition, des investissements massifs ont été réalisés pour moderniser les infrastructures sportives et urbaines, notamment les stades à Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo et San Pedro. L’organisation a également mobilisé de nombreux prestataires dans divers secteurs, dont certains n’ont pas encore reçu l’intégralité des paiements dus.
Le gouvernement a insisté sur sa détermination à régler ces arriérés pour garantir la crédibilité et la transparence du processus. « Si l’État a déjà avancé des fonds, c’est qu’il reconnaît qu’il leur doit », a rappelé le porte-parole du gouvernement, par ailleurs ministre de la Communication.
Le Comité d’organisation de la CAN (Cocan) poursuit les démarches pour finaliser les paiements dans les meilleurs délais. Cette promesse de régularisation vise à rétablir la confiance entre les acteurs économiques et l’État. La réussite de l'organisation de cet événement a fait dire à des observateurs que ce fut la CAN jamais organisée.
« Le solde de leur facture n’a pas été fait. Le Cocan est en train de travailler. Si l’État a déjà avancé des fonds, c’est qu’il reconnaît qu’il leur doit. Il s’agit de solder pour certaines entreprises », a déclaré le porte-parole du gouvernement ce mercredi, lors d’un point-presse à l'issue du Conseil des ministres présidé par le chef de l'Etat Alassane Ouattara.
La CAN 2023, initialement prévue en 2023 mais reportée à janvier 2024 en raison des conditions climatiques, a marqué une édition spéciale pour la Côte d’Ivoire, hôte du tournoi pour la première fois depuis 1984. Lors de cette dernière édition sur son sol, la Côte d’Ivoire avait remporté la compétition, gravant son nom dans l’histoire du football africain.
Pour cette édition, des investissements massifs ont été réalisés pour moderniser les infrastructures sportives et urbaines, notamment les stades à Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo et San Pedro. L’organisation a également mobilisé de nombreux prestataires dans divers secteurs, dont certains n’ont pas encore reçu l’intégralité des paiements dus.
Le gouvernement a insisté sur sa détermination à régler ces arriérés pour garantir la crédibilité et la transparence du processus. « Si l’État a déjà avancé des fonds, c’est qu’il reconnaît qu’il leur doit », a rappelé le porte-parole du gouvernement, par ailleurs ministre de la Communication.
Le Comité d’organisation de la CAN (Cocan) poursuit les démarches pour finaliser les paiements dans les meilleurs délais. Cette promesse de régularisation vise à rétablir la confiance entre les acteurs économiques et l’État. La réussite de l'organisation de cet événement a fait dire à des observateurs que ce fut la CAN jamais organisée.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article
Auteur
Commentaire :