Les États-Unis ont ajouté hier à leur liste noire économique deux chefs de milice centrafricains, accusés de contribuer à l'instabilité du pays, plongé dans le chaos depuis 2013.
Le Trésor américain a ciblé Abdoulaye Hissene, l'ancien leader du Séléka, le mouvement à dominante musulmane qui avait renversé le président François Bozizé en 2013.
Les autorités américaines ont également sanctionné Maxime Mokom, figure des milices chrétiennes anti-balaka qui avaient lancé la contre-offensive après le coup d’Etat, provoquant des milliers de morts et des centaines de milliers de déplacés
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