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Faits Divers

Confession : JC : « A cause de ma curiosité sexuelle, j’ai été victime de viol collectif »

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Je suis JC, jeune homme d’une vingtaine d’année résidant à Abidjan. Il y a quelques mois de cela j’ai vécu l’une des pires expériences de ma vie. Je dirai même la plus horrible. En fait, je suis quelqu’un qui est très curieux naturellement. Ma curiosité me poursuit jusque même dans le lit, où j’adore faire de nouvelles découvertes, sentir de nouvelles sensations…

Un inconnu m’a approché…

Mais un jour, cela va me jouer un mauvais tour. En effet un lundi du mois de septembre 2016, alors que je faisais les cent pas non loin de chez moi, en bordure de route, une belle BMW s’est mise à klaxonner à mon niveau. Bien entendu, j’ai tiqué en entendant cela. Mais le propriétaire du véhicule a stationné et m’a fait signe pour que je monte. Chose que j’ai faite. Le petit vieux (environs 50 ans) à l’intérieur du véhicule m’a tendu la main. Il a souhaité avoir mon numéro tout en expliquant qu’il a une offre intéressante pour moi. Selon lui, vu mon format, je ferai un bon mannequin. Etant un beau mec qui a toujours fait craquer les filles, je me suis dit que cela pourrait être une bonne opportunité. Après avoir sympathisé avec mon interlocuteur, j’ai repris mon chemin. Environ une semaine plus tard, il m’a recontacté. Invitation sur invitation. Au bout d’’un moment je commençais à me poser des questions. « Ce monsieur attend quoi de moi au juste ? » me posais-je intérieurement la question, jusqu’au jour où j’eus ma réponse.

Ce vendredi où tout a basculé…

C’était un vendredi soir. Il m’a appelé et m’a dit qu’il devait me faire rencontrer ses partenaires, qui d’après lui ont des agences de mannequinat. La rencontre était prévue pour 18h dans un restaurant classe, suivi d’une séance photo. Ainsi après le repas copieux, mes « futurs patrons » m’ont envoyé dans une villa à Angré. Là où devrais avoir lieu le shooting. Mais avant de passer au shoot, François (le nom du petit vieux en question) a tenu à me voir en privé. Ce dernier m’a fait une proposition plus que bouleversante. « Tu es mon type d’homme et j’aimerais que tu te donnes à moi. En échange, tu auras droit à une voiture, je paierai tes études et tu seras intégré au plus vite dans une agence de mannequinat », m’a ouvertement balancé au visage mon interlocuteur, me laissant sans voix, bouche ouverte. J’avoue que dans un premier temps je n’ai pas voulu céder, j’ai même trouvé cela répugnant et je me suis emporté, lui disant qu’au début il ne m’avait informé de cette ‘’partie’’ du contrat.

Le ‘’buldozer’’

Mais, je me suis rendu compte de l’offre alléchante qui allait suivre cet acte. Aussi, je me suis souvenue que ma petite amie me faisait des pratiques au lit, liées à mon rectum, et qui me procuraient des sensations indescriptibles. Je vous avoue, à ce moment-là, j’ai voulu me laisser tenter. Savoir si me ‘’faire prendre par un homme’’ par derrière me procurerait autant de plaisir. « D’ailleurs cela ne se ferait qu’une fois, donc pourquoi hésiter ? », me dis-je. J’ai donc céder. Là, dans la petite pièce où nous nous trouvons, François a descendu la braquette de son pantalon et m’a laissé entrevoir le ‘’buldozer’’ qui lui servait de sexe. Là, j’ai vraiment eu peur.

Mais il me menaça avec un fouet qu’il avait soigneusement gardé à côté de lui. J’ai compris à qui est ce que j’avais affaire. Alors que je m’y attendais le moins, les deux hommes du restaurant qui nous accompagnaient sont entrés eux aussi dans la pièce, torses nus. Ils avaient un gros scotch avec eux ainsi qu’une corde bien solide. Je vous laisse imaginer la suite…

Les mains ligotée, la bouche scotchée, ces trois hommes gaillards ont abusé de moi tour à tour. J’ai été violenté. Moi, un homme. Mes bourreaux, après leur sale besogne, m’ont laissé gisant à même le sol. Dépourvu de force, je ne pouvais me lever. Ils m’ont laissé là, jusqu’à ce que le lendemain, un monsieur (le propriétaire) me retrouve là, dans un état pitoyable. Apparemment, la maison est une résidence qu’ils avaient louée juste pour la nuit….juste pour me violer. Il fallait que j’en parle. Que je me libère. Car ceci est un lourd secret dont personne n’est au courant dans mon entourage. 

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