Arrêté après avoir été impliqué dans un scandale de sodomie à l’École de police d’Abidjan, le procès du Sergent-chef instructeur, a été renvoyé pour la troisième fois au 14 février 2020. Les faits allégués paraissant surréalistes.
Le scandale de sodomie dont étaient victimes des élèves policiers au sein de l’école nationale de la police ivoirienne avait fait grand bruit.
En effet, le sergent chef B.A.Y, en service à la cuisine de l’école, soumettait sous la contrainte les élèves à des actes de sodomie.
Jouant ainsi le rôle de la femme dans ces actes contre nature.
Sur dénonciation d’un élève sous-officier, victime, cet indélicat policier est pris au piège et en flagrant délit pendant qu’il faisait la fellation à l’élève sous-officier V.B.Z. Ainsi, il est mis aux arrêts puis conduit au violon de l’école de police. Ce, pour attentat à la pudeur et abus d’autorité.
De fait, un rapport détaillé avait été déposé chez le directeur de l’école, et devant la haute hiérarchie de la police nationale. Selon le Tribunal militaire d’Abidjan, le procès du Sergent-chef a débuté il y’a quelques semaines. Cependant, il a été renvoyé pour la troisième fois vu la complexité du dossier.
Par ailleurs, à en croire le tribunal, ce renvoi au 14 février 2020, verra la comparution d’un témoin clé dans ce dossier.
Cet acte du Sergent-chef de la police a laissé plusieurs personnes perplexes. Etait-ce du fétichisme ou un simple fantasme ?
Seul l’encadreur en service à la cuisine de l’école de police peut y répondre.
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