Dans son intervention, Coulayes Victor Emmanuel, chef canton de Guiglo et président du directoire de la chefferie traditionnelle du Cavally, appelle au maintien du Chef de l’Etat à son poste afin qu’il poursuive l’œuvre de développement du pays entamée.
« Dans la région du Cavally, la politique d’accord, mais nous les chefs nous disons ce que nous voyons. Alassane Ouattara, pendant les dix ans qu’il a passés au pouvoir, a beaucoup travaillé. Les villages sont électrifiés, les routes bitumées, des collèges construits dans nos localités... C’est ce que nous voulons », souligne le patriarche. Qui rappelle que la première délégation à l’avoir rencontré après son accession au pouvoir en 2011, c’est le Cavally. Ajouté à cela, le statut des chefs traditionnels qu’il a relevé. Le chef pense qu’il ne sert à rien de militer pour un changement qui ne profitera pas forcément aux populations. « Nous sommes avec lui, qu’il compte sur le Cavally. Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a visité trois fois notre région de son vivant. Il nous accordait de l’estime. Si Dieu en a voulu autrement, c’est Alassane Ouattara que nous voulons », déclare-t-il, insistant sur le devoir de reconnaissance des chefs et des populations.
Ouli Paul, le porte-parole des chefs de Bloléquin, au nom des populations des quatre cantons du département et du secteur de Bougalou, appelle le Président Ouattara à se porter candidat afin de poursuivre, au profit de la Côte d’Ivoire en général et de la région du Cavally en particulier, l’œuvre de développement bien accompli au cours de ses deux premiers mandats. « Nous soutenons le Président Ouattara pour un troisième mandat. Les routes, les infrastructures en construction, les chantiers prévus dans la région l’attendent. Nous le soutenons », a déclaré le chef Ouli Paul.
Nessemon Théodore, chef du canton Goum-Blao, dans le département de Guiglo, lui est formel : « Alassane Ouattara est notre candidat. Nous ne voulons pas de quelqu’un d’autre. Il s’est déplacé à Guiglo, nous lui avons demandé de construire un nouveau pont à l’entrée de la ville. Aujourd’hui, ce pont a été construit et nous profitons d’autres projets de développement. »
Oguiro Robert, chef du village de Sehizinbly, président du collectif des chefs de village du département de Toulepleu, dit ajouter sa voix aux différentes sollicitations pour deux raisons : l’apport de Ouattara au développement de la région qui voit pousser routes et autres infrastructures d’une part, et la promotion des cadres de Duékoué dont un grand nombre travaille à ses côtés, d’autre part.
« Dans la région du Cavally, la politique d’accord, mais nous les chefs nous disons ce que nous voyons. Alassane Ouattara, pendant les dix ans qu’il a passés au pouvoir, a beaucoup travaillé. Les villages sont électrifiés, les routes bitumées, des collèges construits dans nos localités... C’est ce que nous voulons », souligne le patriarche. Qui rappelle que la première délégation à l’avoir rencontré après son accession au pouvoir en 2011, c’est le Cavally. Ajouté à cela, le statut des chefs traditionnels qu’il a relevé. Le chef pense qu’il ne sert à rien de militer pour un changement qui ne profitera pas forcément aux populations. « Nous sommes avec lui, qu’il compte sur le Cavally. Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a visité trois fois notre région de son vivant. Il nous accordait de l’estime. Si Dieu en a voulu autrement, c’est Alassane Ouattara que nous voulons », déclare-t-il, insistant sur le devoir de reconnaissance des chefs et des populations.
Ouli Paul, le porte-parole des chefs de Bloléquin, au nom des populations des quatre cantons du département et du secteur de Bougalou, appelle le Président Ouattara à se porter candidat afin de poursuivre, au profit de la Côte d’Ivoire en général et de la région du Cavally en particulier, l’œuvre de développement bien accompli au cours de ses deux premiers mandats. « Nous soutenons le Président Ouattara pour un troisième mandat. Les routes, les infrastructures en construction, les chantiers prévus dans la région l’attendent. Nous le soutenons », a déclaré le chef Ouli Paul.
Nessemon Théodore, chef du canton Goum-Blao, dans le département de Guiglo, lui est formel : « Alassane Ouattara est notre candidat. Nous ne voulons pas de quelqu’un d’autre. Il s’est déplacé à Guiglo, nous lui avons demandé de construire un nouveau pont à l’entrée de la ville. Aujourd’hui, ce pont a été construit et nous profitons d’autres projets de développement. »
Oguiro Robert, chef du village de Sehizinbly, président du collectif des chefs de village du département de Toulepleu, dit ajouter sa voix aux différentes sollicitations pour deux raisons : l’apport de Ouattara au développement de la région qui voit pousser routes et autres infrastructures d’une part, et la promotion des cadres de Duékoué dont un grand nombre travaille à ses côtés, d’autre part.
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