Dans une contribution dont nous avons reçu copie, Damana Adia Pickass, vice-président du Front populaire ivoirien en charge de la politique de la jeunesse, a depuis le Ghana où il est en exil, invité les Ivoiriens à croire aux idéaux de paix et de réconciliation de Laurent Gbagbo.
J'appartiens à la génération des Gbagbo, Sangaré au plan des idées, des principes et des valeurs. Ils sont d'une intégrité, d'une probité morale sans aucune équivalence. Ils sont d'un courage et d'une détermination insoupçonnés. Gbagbo et Sangaré sont d'une générosité, d'un altruisme et d'un amour indiscutables.
Sous la gouvernance de Gbagbo il n'a prôné que l'amour, la réconciliation vraie, la fraternité et la cohésion. Il n'y avait pas de prisonniers politiques, il n'y avait pas de règlement compte, il n'y avait pas de chasse aux sorcières ni d'épuration ethnique, idéologique et administrative. Gbagbo travaillait avec tout ivoirien compétent indépendamment de sa sensibilité idéologique, ethnique ou religieuse.
La composition de son propre cabinet en est une preuve irréfutable, imparable. Sous Gbagbo des cadres PDCI, RDR, UDPCI occupaient de hautes responsabilités dans l'administration, la police, la gendarmerie, l'armée. Certains présidaient des institutions de la république, d'autres dirigeaient des sociétés d'états. Sous Gbagbo, le gruman présidentiel transportait des opposants malades en Europe avec prise en charge à 100% assurée. Il y en a dans ce gouvernement qui en ont bénéficié.
Sous Gbagbo la république participait au deuil des barons de l'opposition. Des exemples foisonnent et ce n'est pas l'actuel chef de l'État qui va me contredire. Que l’opposition soit en joie ou en pleures pour des questions familiales, Laurent Gbagbo est la et toujours à leur côté.
La cerise sur le gâteau, Gbagbo a cogéré le pays avec ceux qui l'ont attaqué militairement au nom de la paix et de l'intérêt supérieur de la nation. Par-dessus tout, quand bien même le centre nord et l'ouest refusaient de rentrer dans la république, le président Gbagbo a assuré et assumé ses responsabilités sur l'ensemble des populations qui vivaient dans cette zone rebelle. : Soins de santé, éducation, services, eau, électricité etc... n'ont jamais été interrompus.
Voilà la société que Gbagbo voulait bâtir, voici les idées qu'il avait pour son peuple. C'est donc à cette génération d'idées, de valeurs et de gouvernance que j'appartiens ou que je désire ardemment appartenir. Et j'invite la jeunesse ivoirienne qui hésite encore à adhérer à cette génération d'idées, de valeurs afin de bâtir une côte d'ivoire valeureuse, de morale, de compétences ou chacun reconnaît sa place et l'occupe avec fierté.
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