Depuis janvier 2016 que le procès de Laurent Gbagbo et Blé Goudé s’est ouvert devant le tribunal de première instance I de la CPI, les audiences publiques ont été entrecoupées par des huis clos.
Les juges ou les différentes parties ont plusieurs sollicité des huis clos pour permettre aux différents témoins de dire certaines vérités qu’ils avaient du mal à dire en audience publique, ou que la Cour estimait qu’il serait bien qu’ils le fassent en audience privée pour leur sécurité.
La rencontre d’échanges entre des émissaires de la CPI et la presse ivoirienne a permis de comprendre qu’au cours de ces audiences privées, les témoins ont dit beaucoup de choses plus graves que ce l’on a pu entendre d’eux en audience publique.
Ce qui fait dire à Fadi Abdallah que les gens n’ont qu’une partie des témoignages. « Votre vision est une partie des témoignages et non la globalité», a affirmé Fadi. Il a indiqué que les témoins ont dit des choses plus graves que ce que les uns et les autres ont entendu et dont ils se réjouissent.
1 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2017 (07:56 AM) Libéré gbagbo blé la cpi est ouverte pour les africainsParticiper à la Discussion
Commentez cet article