Les chroniqueuses du talk-show à l’ivoirienne C’midi, que ce soit Zena Alisar, Line Jaber et même l’animatrice principale, Caroline Dasylva, ont alimenté les débats ce mois-ci. Ceci, à cause de leurs dérapages répétitifs sur le plateau de l’émission.
Les dérapages de trop
En effet, après l’ironie de Zena Alisar sur la grossesse de Josey, c’est Line Jaber, qui a tenu des propos désobligeant à l’endroit du champion olympique ivoirien de taekwondo, Cissé Cheick. Enfin, c’est Carolynie Dasylva qui s’en est prise récemment à l’humoriste Dr.philo, sur le plateau.
Relativement à ces évènements qui ont suscité une vague d’indignations et de critique sur la toile, un responsable de la RTI, s’est exprimé dans l’anonymat, aux confrères de Vipmag.
Des chroniqueuses intouchables ?
« (…) La RTI a le devoir de protéger ses agents. Mais si ces derniers ont commis une faute, ils doivent être sanctionnés. Ne dit-on pas qu’on apprend de ses erreurs ? Mais si rien n’est fait, les gens penseront que ces filles-là sont protégées par quelqu’un et qu’elles sont intouchables…C’est l’impression que cela donne. Sinon comment comprendre que ces filles multiplient les fautes professionnelles et techniques sans que personne ne lève le petit doigt ? (…) Quand certains agents affirment que ces filles sont intouchables, ils n’ont pas totalement tort», a indiqué l’individu avant de révéler que les débriefings après l’émission, ne sont pas faits comme cela devait l’être. D’après lui, certaines têtes fortes de l’équipe de C’midi traînent les pieds quand il s’agit de faire le bilan de l’émission.
Toutefois, après avoir indiqué que Cissé Cheick avait un teint sale et bizarre, la prétendue policière de la mode Line Jaber, a présenté ses excuses sur les réseaux sociaux. Une attitude que bon nombres d’internautes n’ont pas appréciée, et ont souhaité que des excuses soient dignement faites par la chroniqueuse sur le plateau de l’émission, où a eu lieu son dérapage le vendredi passé.
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