« En Afrique, 830 femmes meurent chaque jour en donnant la vie. Ce qui est dû à des causes évitables. C'est pourquoi, il faut orienter la recherche vers la réduction voire l'élimination de la mortalité maternelle et infantile », a dit le professeur Ibrahima Seck, conseiller technique au ministère sénégalais de la Santé et de l'Action sociale.
Il s'adressait à la presse en marge de l'ouverture d'un atelier international de l'Organisation ouest africaine de la Santé (OOAS) sur les innovations en faveur de la Santé de la mère et de l'enfant.
La rencontre entre dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Initiative Innovation pour la Santé des mères et des enfants d'Afrique », financée par la coopération canadienne.
« En utilisant la recherche, nous pourrons sensiblement baisser le taux de la mortalité maternelle et infantile grâce des innovations dans l'approche et les actions-interventions », a poursuivi le professeur Ibrahima Seck, plaidant aussi pour l'implication de toutes les couches de la population.
De son côté, Dr Laurent Assogba, directeur général adjoint de l'OOAS, a indiqué que par le biais de la recherche, les décideurs peuvent avoir une meilleure compréhension des forces, faiblesses, des opportunités et des menaces de la Santé de la mère et de l'enfant. « Ce faisant, a-t-il indiqué, nos décideurs pourront faire une bonne planification des politiques de santé ».
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