Luc Ayé, directeur général d’Azito au cours d’un échange avec la presse ce jeudi 22 avril à Abidjan-Plateau.
Selon lui, cette panne est due à une défaillance au niveau d’un capteur de mesure d’un paramètre de sécurité très important d’une turbine à gaz. Aux dires du directeur général, cette panne a été prise en compte par les services dédiés et sa réparation a occasionné l’arrêt de l’un des groupes de la centrale thermique.
Selon lui, cette panne est due à une défaillance au niveau d’un capteur de mesure d’un paramètre de sécurité très important d’une turbine à gaz. Aux dires du directeur général, cette panne a été prise en compte par les services dédiés et sa réparation a occasionné l’arrêt de l’un des groupes de la centrale thermique.
’’ Afin de ne pas faire courir de risque à la production d’énergie, sachant qu’Azito est une des centrales leaders en termes de production d’électricité en Côte d’Ivoire, nous avons décidé d’arrêter ce groupe aux environs de 22h23, après avoir informé la Compagnie ivoirienne d’électricité’’ a expliqué Luc Ayé.
Tout en précisant que « le groupe est de nouveau sur le réseau électrique ivoirien, car la réparation n’a pas excédé 24 heures”, le directeur général s’est retenu de donner son avis sur les autres évènements liés aux coupures intempestives d’électricité depuis le 14 avril, estimant que cela n’est pas du ressort de son entreprise dont l’activité se limite à la production.
Tout en précisant que « le groupe est de nouveau sur le réseau électrique ivoirien, car la réparation n’a pas excédé 24 heures”, le directeur général s’est retenu de donner son avis sur les autres évènements liés aux coupures intempestives d’électricité depuis le 14 avril, estimant que cela n’est pas du ressort de son entreprise dont l’activité se limite à la production.
Il a par ailleurs dit comprendre les perturbations enregistrées ces derniers temps aient été amplifiées du fait de cette panne, d’autant plus que l’unité mise en cause produit 230 MW, soit la moitié de la capacité usuelle de l’entreprise qui produit 25 à 30 % de l’énergie nationale avec une capacité installée de 460 MW.
« Il est clair qu’avec 230 MW en moins sur le réseau, cela crée forcément des perturbations », a-t-il confié.
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