Selon nos informations, la Commission électorale indépendante (CEI) a en effet proposé la date du 2 septembre pour l’organisation du scrutin. Celle-cidoit être entérinée par un décret gouvernemental.
Réunion présidée par Adama Bictogo
L’échéance du 2 septembre a été dévoilée, ce 23 mars, lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale, en présence des représentants des groupes parlementaires. Devant ces derniers, le président de la chambre basse, Adama Bictogo, a exprimé « la volonté du gouvernement d’organiser les élections locales au mois de septembre. » « L’élection des sénateurs suivra un mois plus tard », a-t-il par ailleurs fait savoir.
La CEI, présidée par le magistrat Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, doit dévoiler fin avril les résultats de la révision des listes électorales. La population inscrite est estimée à environ 7,5 millions d’électeurs, mais la commission vise au moins un million de votants supplémentaires.
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