
“Nous somme pour la paix. Nous ne voulons rien d’autre que la paix. depuis le 31 octobre, nous ne pouvons plus aller au champs, notre cacao mûri, mais personne n’ose aller le récolter en raison de l’insécurité qui prévaut depuis l’élection présidentielle”, a relevé le chef du village, Séry Goualy Ernest, demandant au gouvernement de “nous venir en aide pour ceux qui ont perdu leurs maisons”.
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