Ce qui aurait pu être une gloire pour lui, se transforme en mirage pour Séri Jean-Michaël. Le virtuose milieu de terrain ivoirien voit ses chances d’être transféré au FC Barcelone réduites à néant. Une situation fâcheuse qui plonge le joueur dans la déprime.
« Je n'ai pas joué en fin de semaine dernière avec Nice car je n'ai plus la tête au football. Mon rêve d'aller au Barça s'est brisé et ça, pour moi, c'est terrible », a-t-il laissé entendre dans les colonnes du quotidien catalan Mundo Deportivo.
Et pourtant, toutes les pièces du puzzle étaient bien disposées pour la réalisation du rêve barcelonais de l’ancien sociétaire de l’Asec Mimosas.
« A la fin du match contre Naples (mardi dernier), je me suis entretenu durant plus d'une heure avec les dirigeants du FC Barcelone et ils ne m'ont rien dit sur une possible marche arrière concernant mon transfert », a raconté le niçois dont la joie fut de courte durée.
« Je suis rentré chez moi, content, et le jour suivant j'ai appris la nouvelle, raconte le milieu ivoirien. Je suis resté de marbre quand j'ai découvert que l'opération avait capoté pour des raisons incompréhensibles selon moi. Je suis donc allé au siège de Nice pour voir les dirigeants et comprendre ce qu'il s'était passé. Et là j'ai explosé ! Je peux vous assurer que les murs ont tremblé. Les dirigeants du club ne m'ont rien dit, ils ne m'ont même pas regardé dans les yeux. C'était évident que quelque chose s'était passée : ils m'ont promis une chose et ensuite ils n'ont pas tenu leur promesse en demandant plus d'argent qu'au départ », a-t-il révélé.
L’espoir est permis
Le marché des transferts fermant ses portes vendredi en Espagne, mais Séri Jean-Michaël garde une petite lueur d’espoir et veut y croire encore : « Je veux être optimiste et penser qu'il y a toujours une chance, que les clubs vont se reparler tranquillement et trouver un accord »
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