En effet, dans le cadre du programme karité Ivoire (Pki), financé par le projet des chaînes de valeur compétitives pour l’emploi et la transformation économique (Pccet) et mis en œuvre par ladite structure et le Centre africain de recherches et d’applications sur le karité (Crak), deux laboratoires dédiés au karité seront inaugurés le 9 novembre 2024, au sein de l’Université Péléforo Gon Coulibaly de Korhogo.
Ces laboratoires dotés d’équipements de dernière génération seront consacrés à la micropropagation in vitro et au contrôle qualité du beurre et des sous-produits du karité.
En clair, ces centres scientifiques permettront de regénérer des plants de karité offrant aux producteurs l’opportunité d’avoir accès en tout temps à du karité, tournant ainsi le dos à la récolte d’un fruit qui se faisait au gré du vent et des saisons. Ces deux laboratoires qui viennent compléter un autre déjà existant vont dans ce sens booster de façon significative la chaine de valeur karité.
Pour ce qui est des acteurs du karité, ils ont été pris en compte dans le cadre de formations qui ont touché 6000 d’entre eux, dont 3000 femmes et 3000 jeunes des régions de la Bagoué, du Poro, du Tchologo, du Hambol, du Folon et du Bounkani.
Dans le détail, ce sont d’un côté 3000 productrices qui ont été formées sur les bonnes pratiques de collecte du fruit de karité, la transformation et la valorisation du beurre de karité?, la comptabilité ainsi que les techniques de marketing simplifiées.
De l’autre, 3000 jeunes ont été formés à l’entretien et la valorisation des pépinières, au greffage horticole et à la gestion des parcs à karité. En outre, ces jeunes ont bénéficié de formations sur la création et l’entretien de plantations de karité.
L’objectif du Pki est de donner à ces acteurs qui, malgré l’usage de techniques traditionnelles ont permis à la Côte d’Ivoire de se hisser au rang de 5e producteur mondial de karité, les outils, les moyens de rehausser la production nationale et d’améliorer sensiblement leurs revenus.
Le Pccet, faut-il le souligner est financé par la Banque Mondiale et mis en œuvre par une unité de coordination rattachée au Cabinet du Premier ministre. Le Pki s’inscrit dans le cadre de la sous-composante 1.2 du Pccet.
Sous-composante qui vise à soutenir la compétitivité des exploitants agricoles et des entreprises en Côte d’Ivoire, à travers la création de services et d’actifs productifs communs pour améliorer les normes de qualité, apporter de la valeur ajoutée aux produits et accéder à des marchés à plus forte valeur ajoutée.
Dans le détail, ce sont d’un côté 3000 productrices qui ont été formées sur les bonnes pratiques de collecte du fruit de karité, la transformation et la valorisation du beurre de karité?, la comptabilité ainsi que les techniques de marketing simplifiées.
De l’autre, 3000 jeunes ont été formés à l’entretien et la valorisation des pépinières, au greffage horticole et à la gestion des parcs à karité. En outre, ces jeunes ont bénéficié de formations sur la création et l’entretien de plantations de karité.
L’objectif du Pki est de donner à ces acteurs qui, malgré l’usage de techniques traditionnelles ont permis à la Côte d’Ivoire de se hisser au rang de 5e producteur mondial de karité, les outils, les moyens de rehausser la production nationale et d’améliorer sensiblement leurs revenus.
Le Pccet, faut-il le souligner est financé par la Banque Mondiale et mis en œuvre par une unité de coordination rattachée au Cabinet du Premier ministre. Le Pki s’inscrit dans le cadre de la sous-composante 1.2 du Pccet.
Sous-composante qui vise à soutenir la compétitivité des exploitants agricoles et des entreprises en Côte d’Ivoire, à travers la création de services et d’actifs productifs communs pour améliorer les normes de qualité, apporter de la valeur ajoutée aux produits et accéder à des marchés à plus forte valeur ajoutée.
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